Rencontre avec Stéphane Leroux
BAI / BELCOLADE
17 septembre 2017
Les créations de Stéphane Leroux
crédit photo TOM SWALENS
Bonjour Stéphane Leroux, eau plate ou eau gazeuse ?
Plutôt gazeuse.
Quel plat mangez-vous bien volontiers en ce moment ?
Poisson, fruits de mer, fruits et légumes.
Avez-vous toujours mangé ce plat ?
J’adore les produits frais
Quel est votre parcours culinaire ?
J’ai découvert et appris à apprécier les bonnes choses dans la pratique de mon métier, mais j’ai toujours aimé la douceur des produits sucrés.
A-t-il plutôt influencé votre façon de manger, ou ce que vous mangez ? En quoi?
Inévitablement.
Pouvez-vous nous raconter une première fois culinaire (préparation ou dégustation) ?
Des palets de dame que j’avais complètement raté en cours de travaux manuel et technique, j’étais au collège, je devais avoir 13 ou 14 ans. Ma professeur savait que je voulais devenir pâtissier et m’a dit que j’en serais incapable en se moquant de moi devant toute la classe…
Ça, c’est pour le souvenir qui fait mal, je lui en ai beaucoup voulu…
Mais heureusement, il y a les bons souvenirs.
Les œufs à la neige et les cakes aux fruits que faisait ma grand-mère maternelle et le Christmas pudding flambé au rhum que faisait ma grand-mère paternelle. Tellement riche de saveurs et de douceurs.
Quel est selon vous l’aliment qui incarne le mieux la mobilité de l’humain de nos jours?
Ce que j’aime dans la mobilité, c’est de pouvoir découvrir d’autres saveurs et d’autres cultures de goût, alors je dirais, de la diversité et surtout pas de standardisation et dans tous les sens du terme, c’est la richesse humaine.
Quel aliment vous ferait défaut aujourd’hui si vous deviez vous en passer pendant un an ?
Je suis un grand buveur de thé et de café.
Si on se fiait à vous pour nous recommander un restaurant ?
Chez moi, c’est là où j’apprécie le mieux manger, entouré de mes proches surtout, c’est ce qui rend tout bon et plein de saveur.
Si vous deviez nous présenter un produit et en partager la recette avec nous ?
J’adore le Baba au rhum avec des fruits frais et de la crème chantilly. Mais le rhum surtout.
Pour finir, quelques mots sur l’altérité et le « vivre ensemble »
Comme disait ma mère, le plus important c’est l’amour.
Quoi d’autre…